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1/21/2016

SPECTACLE MERVEILLEUX


    « Dis-moi le lion que tu fréquentes » d’après Alexandre Vialatte – par Elizabeth et Nicolas Paugam – Les jeudi 28, vendredi 29 et samedi 30 janvier 2016 à 20h30 dans le théâtre Les Grands Solistes, 21 rue Saint Antoine 91150 ÉTAMPES
Pour réserver : 06.73.37.90.58 ou contact@les-grands-solistes.fr




Élizabeth Paugam est la fondatrice du Théâtre du Mayapo au Puy-en-Velay. Comédienne et marionnettiste professionnelle depuis 1989, professeur et metteur en scène de théâtre, elle est également artiste-peintre.

Nicolas Paugam est musicien professionnel. Guitariste dans de nombreuses formations, il navigue entre jazz-manouche et pop-musique; il est le cofondateur du groupe pop Da Capo (quatre albums produits). Il compose également des chansons françaises, anime des ateliers d’éveil musical pour les tout petits et pratique l’art du collage.

« Dis moi le lion que tu fréquentes… » est une alchimie de nombreuses compétences mêlées, un spectacle visuel, une balade fantasque dans l’œuvre de Vialatte, baroque et farfelue, poétique et incongrue.

C‘est un pot-pourri de textes lus, joués ou chantés, accompagnés de sons, d’images et d’objets insolites, dans un décor modulable qui s’ouvre et se referme sur des mondes imaginaires : boîtes à malices où se cache le fabuleux bestiaire de Vialatte, « paravents-chevalets » sur lesquels le décor se peint au fil de la lecture, figurines de carton qui s’animent et dialoguent pour restituer le verbe.


1/05/2016

PORTRAIT DANS SERVICE LITTÉRAIRE


      Bernard Morlino consacre un grand article au portrait d’Alexandre Vialatte dans le numéro de janvier du Service Littéraire. A l’occasion de la sortie au Dilettante de « La Maison du joueur de flûte », il évoque « une littérature figurative, loufoque et pleine d’une gravité salutaire » en même temps qu’il retrace la vie de Vialatte, à grands traits.
     Comment ne pas se réjouir de lire, sous la plume de l’écrivain et journaliste, que pour Alexandre Vialatte « la magie littéraire est au cœur de ses phrases, intacte, indémodable, hors du temps » ? 
     Quand tant d’évocations de l’auteur des Chroniques ne font qu’évoquer ses « bons mots » comme autant de slogans publicitaires, dégagés de leur contexte, ici Bernard Morlino nous donne une magnifique leçon d’analyse de l’œuvre de Vialatte, où se mêlent toujours le cœur et l’intelligence, la poésie et la tendresse, dans un style qui n’ayant pas d’âge, ne vieillira jamais.